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| Dialogues | |
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Eric Admin
Nombre de messages : 7148 Age : 53 Localisation : Mars et ça repart... Date d'inscription : 23/01/2006
| Sujet: Dialogues Lun 20 Nov - 12:22 | |
| Dialogues: Ne nous fâchons pas
- Le flinguer comme ça de sang froid, sans être tout à fait de l'assassinat, y aurais quand même comme un cousinage. L.Ventura - Mr Berreteau, c'est la troisième fois cette année, et la dernière j'espère, que vous êtes poursuivi pour coups et blessures - A qui la faute Mr le Commissaire hein ? Moi je roulais tranquillement, doucement, à ma droite, et c'est ce monsieur qui grille un stop et qui m'emplâtre. - Je souligne poliment l'infraction. Je souris..., quand cet espèce de possédé commence à me dire un tas de gros mots que j'ose même pas vous répéter Monsieur le Commissaire ...Bon, j'ai peut être eu tort de le tirer par la cravate à l'intérieur de la décapotable, mais c'est tout Monsieur le commissaire ! - Et c'est ainsi que vous lui avez fendu le cuir chevelu et ouvert l'arcade sourcilière ? - Bah, j'avais changé de voiture et j'ai oublié qu'elle n'était pas décapotable. Voilà ! L.Ventura/Le Commissaire
- On a toujours tendance à prendre les bruns trapus pour des gangsters mais c'est un préjugé idiot. - J'en connais un autre qui consiste à prendre les grandes blondes pour des imbéciles ! L.Ventura/M.Darc
- Qui c'est ces types? - Des représentants - En quoi? - En souvenirs... L.Ventura
- L'hospitalité anglaise, on connaît les précédents... Y'a des récits plein les manuels. J.Lefebvre | |
| | | Eric Admin
Nombre de messages : 7148 Age : 53 Localisation : Mars et ça repart... Date d'inscription : 23/01/2006
| Sujet: Re: Dialogues Sam 25 Nov - 9:34 | |
| Extraits de dialogues: "Les Aventuriers"
ROLAND : "Allo, allo, t'es là?... A toi."
VOIX MANU : "Présent! A toi."
...
LAETITIA : " Vous allez peut-être dire que je suis curieuse aussi... mais... (ELLE MONTRE LES POTEAUX) A quoi sert tous ces trucs là?".... "Je peux essayer de déviner si vous voulez."
ROLAND : "Ben alors, là ça m'étonnerait... Ah le voilà, le voilà, le voilà!"
LAETITIA : "Il est complètement fou!"
(LE BRUIT DE L'AVION QUI REVIENT ET PASSE EN RASE-MOTTE...)
VOIX MANU: "Allo, Roland, Roland tu m'entends?".... "T'as une secrétaire maintenant?".... "Comment elle s'appelle? Françoise? Yvonne? Berthe?...
LAETITIA: Laetitia... | |
| | | Eric Admin
Nombre de messages : 7148 Age : 53 Localisation : Mars et ça repart... Date d'inscription : 23/01/2006
| Sujet: Re: Dialogues Lun 27 Nov - 11:39 | |
| Louis de retour. Présence indispensable. Présence indispensable ... Après quinze ans de silence, y'en a qui poussent un peu quand même. Quinze ans d'interdiction de séjour. Pour qu'il abandonne ses cactus et qu'il revienne à Paname, faut qu'il lui en arrive une sévère au vieux Louis. Faut qu'il ait besoin de pognon ou qu'il soit tombé dans une béchamelle infernale. L.Ventura - Hé bien ma vieille, tu nous fait attendre. La route a pas été trop toc ? - Ben suffisamment. - Ça fait plaisir de te revoir. Le mexicain commençait à avoir des impatiences. - Ah bon, parce qu'il est revenu, c'est pas un char ? - Ah ben, je ne me serais pas permis. - Avoue que ça fait quand même une surprise, non ? - Des surprises, t'es peut-être pas au bout. Viens. "Henri"/L.Ventura - Henry, fais tomber cent sacs au toubib. Le Mexicain - Je suis revenu pour canner ici, et pour me faire enterrer à Pantin avec mes vioques. Les Amériques, c'est chouette pour prendre du carbure. On peut y vivre, à la rigueur. Mais question de laisser ses os, hein, y'a que la France. Le Mexicain - Maintenant que tu es dans l'honnête, tu peux pas savoir le nombre de malfaisants qui existent. Le Mexicain - Mais le mexicain, ç'a été une épée, un cador. Moi j'suis objectif, on parlera encore de lui dans cent ans. Seulement faut bien reconnaître qu'il avait décliné, surtout de la tête. - C'est vrai qu'sur la fin il disait un peu n'importe quoi. Il avait comme des vaps, des caprices d'enfant. - Enfin, toi qui y a causé en dernier, t'as sûrement remarqué ? - Remarqué quoi ? - T'as quand même pas pris au sérieux cette histoire de succession ? - Pourquoi ? Fallait pas ? Ben, j'ai eu tort. - Ah, ah. Et voilà. - Tu vois, Raoul, c'était pas la peine de s'énerver, monsieur convient. - Y'en a qu'abuseraient de la situation, mais mon frère et moi, c'est pas notre genre. Qu'est-ce qu'on pourrait faire qui t'obligerait ? - Décarrer d'ici. J'ai promis à mon pote de m'occuper de ses affaires. Puisque je vous dis que j'ai eu tort, là. Seulement, tort ou pas tort, maintenant c'est moi le patron. Voilà. - Écoute, on te connaît pas. Mais laisse-nous te dire que tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des nervous breakdown, comme on dit de nos jours. - J'ai une santé de fer. Voilà quinze ans que je vis à la campagne, que je me couche avec le soleil, et que je me lève avec les poules. B.Blier/J.Lefebvre/L.Ventura - C'est quand même marrant les évolutions, quand je l'ai connu le mexicain, il recrutait pas chez tonton ! - Vous savez ce que c'est : l’âge, l'éloignement. A la fin de sa vie, il s'était lancé sur le reclassement des légionnaires. - Ah si c'est une œuvre, c'est autre chose ! L.Ventura
- Mais qu'est-ce que c'était que cette fusillade ? On ne se serait pas permis de vous flinguer sur le domaine ? - Eh ben, on s'est permis. Thomas/L.Ventura
- Le Mexicain l'avait achetée en viager à un procureur à la retraite. Après trois mois, l'accident bête. Une affaire. V.Venantini
- Quand le lion est mort, les chacals se disputent l'empire. On ne peut pas leur en demander plus qu'aux fils de Charlemagne. F.Blanche
- Your room is ready, sir ! - Il veut dire que votre chambre est prête. - Dites donc, il picole pas un peu, votre british ? - Oh là là ! Et puis, il est pas plus british que vous et moi. C'est une découverte du mexicain. - Il l'a trouvé où ? - Ici. Il l'a même trouvé devant son coffre-fort. Il y a 17 ans de ça. Avant d'échouer devant l'argenterie, l'ami Jean avait fracturé la commode Louis XV. Le mexicain lui est tombé dessus juste au moment où l'artiste allait attaquer les blindages au chalumeau. - Je vois d'ici la petite scène. - Vu ses principes, le patron ne pouvait pas le donner à la police, ni accepter de régler lui-même les dégats. Résultat : Jean est resté ici 3 mois au pair comme larbin pour régler la petite note. Et puis, la vocation lui est venue, le style aussi, peut-être également la sagesse. Dans le fond, nourri, logé, blanchi, 2 costumes par an, pour un type qui passait la moitié de sa vie en prison... - Il a choisi la liberté, quoi. R.Dalban/F.blanche/L.Ventura
- Du thé à sept heures du soir ? - Ben, c'est-à-dire qu'en ce moment, je suis un tantinet décalé dans mes horaires, oui. Patricia/L.Ventura
- Mais ces mecs-là n'auraient quand même pas la prétention d'engourdir le pognon de ma nièce, non ? L. Ventura
- L'éducation de la princesse, cheval, musique, peinture...atteint un budget elyséen. Et vos dépenses somptuaires prennent des allures africaines. F.Blanche
- Chère Madame, on m'a fait état d'embarras dans votre gestion, momentannés j'espère. Souhaiteriez-vous nous fournir quelques explications? - Des explications, Monsieur Fernand, y'en a deux : récession et manque de main d'oeuvre. C'est pas que la clientèle boude, c'est qu'elle à l'esprit ailleurs. Le furtif par exemple, a complètement disparu. - Le furtif? - Le client qui venait en voisin."Bonjour Mesdemoiselles, au revoir Madame"..; Au lieu de descendre après le dîner y reste devant sa télé pour voir si, par hasard, y serait pas un peu l'Homme du XXème siècle ! Et l'affectueux du Dimanche? Disparu aussi ! Et pourquoi? Voulez-vous me dire? - Encore la télé?! - L'auto, Monsieur Fernand, l'auto ! - Vous parliez aussi de pénurie de main d'oeuvre? - Alors la Monsieur Fernand, c'est un désastre. Une bonne pensionnaire ça devient plus rare qu'une femme de ménage. Ces dames s'exportent... Le mirage africain nous fait un tord terrible. Si ça continue, elles iront à Tombouctou à la nage ! L. Ventura/D.Davray
- J'dis pas que Louis était toujours très social,non, il avait l'esprit de droite. Quand tu parlais augmentation ou vacances, il sortait son flingue avant que t'aies fini, mais il nous a tout de même approté à tous la sécurité. D.Vavray
- Patricia, mon petit, je ne voudrais pas te paraître vieux jeux et encore moins grossier...L'homme de la pampa parfois rude, reste toujours courtois... Mais la vérité m'oblige à te le dire: Ton Antoine commence à me les briser menu! L.Ventura
- Non mais t'as déjà vu ça? En pleine paix. Y chante et puis crac, un bourre-pif! Mais il est complètement fou ce mec! Mais moi, les dingue j'les soigne. J'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévère ! J'vais lui montrer qui c'est Raoûl. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon puzzle. Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus, j'dynamite, j'disperse, j'ventile... B. Blier
- Mais y connaît pas Raoûl ce mec!.. Y va avoir un réveil pénible... J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter qu'le sang coule... Mais maintenant c'est fini... je vais le travailler en férocité... le faire marcher à coups de latte... Ama pogne je veux le voir... Et je vous promets qu'y demandera pardon!... Et au garde-à-vous! B.Blier
- Je raccompagne ce petit jeune homme. - Ne vous donnez pas cette peine, je connais le chemin. - Oui, ben il faudrait voir à l'oublier. - Soit, les manières y gagneront ce que l'amitié y perdra. - Ben, c'est ça, on s'aimera moins ! L.Ventura/C.Rich
- Y'a des impulsifs qui téléphonent, d'autres qui se déplacent. H.Frank
- La psychologie, y'en a qu'une: Défourailler le premier. - C'est un peu sommaire, mais ça peut être efficace. V.Venantini
- Le prix s'oublie. la qualité reste. V.Venantini
- Bougez pas !... Les mains sur la table ! Je vous préviens qu'on a la puissance de feu d'un croiseur, et des flingues de concours. - Si ces messieurs veulent bien m’les confier. B.Blier/R.Dalban
- Les ruptures, les retrouvailles: Les fluctuations de la fesse.
- Maintenant les diplomates prendraient le pas sur les hommes d'actions. L'époque serait aux tables rondes et à la détente. J. Lefebvre
- Touche pas au Grizzby... salope !!!! - D’l'alcool à cet âge là ! - Non mais c'est un scandale ! - Nous par contre on est des adultes,.. on pourrait peut être s'en faire un ptit ! - Maître Folasse ? - Seulement le tout venant a été piraté par les mômes, alors qu'est ce qu'on fait, ...on s’risque sur l’bizarre, ...ça va rajeunir personne! - Tiens vous avez sorti le vitriole ! - Pourquoi vous dites ça ? - Ca a l'air honnête ! - Sans être franchement malhonnête, au premier abord, comme ça il a l'air assez curieux - Y date du mexicain, du temps des grandes heures, seulement on a du arrêter la fabrication, y a des clients qui devenaient aveugles, alors ça faisait des histoires ! - Faut reconnaître, c'est du brutal! - Vous avez raison c'est du curieux ! - J'ai connu une Polonaise qu'en prenais au petit déjeuner ..., faut quand même admettre, c'est plutôt une boisson d'homme ! - Tu sais pas ce qu'il me rappel, cet espèce de drôlerie qu'on buvais dans une petite tôle de Biên Hoa pas très loin de Saigon,... les volets rouges, ... et la taulière, une blonde comme ac, ...comment qu'elle s'appelait déjà? - Lulu la Nantaise ! - T'as connu ? - J'y trouve un gout de pomme - Y en a ! - Et c'est devant chez elle que Lucien le Cheval s'est fait dessouder - Et par qui? - Bah v’la que j'ai plus ma tête ! - Par teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu'à la dynamite - Toute une époque ... ! F.Blanche/J.Lefebvre/ L/Ventura/B.Blier/R.Dalban
- Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît. L.Ventura
- La jeunesse boit de l'eau pétillante et les anciens combattants, des eaux de régime.
- Tu sais combien ça laisse une roulette?... 60% de velours - Et sur le plan des emmerdements 36 fois la mise! L.Ventura
- C'est jamais bon de laisser traîner les créances, et surtout de permettre au petit personnel de réver. L.Ventura
- Alors? Y dors le gros con?... Bah y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule! Il entendra chanter les anges le gugusse de Montauban... Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère... Au terminus de prétentieux. B.Blier
- C'est curieux, chez les marins, ce besoin de faire des phrases. F.Blanche
- Si vous restiez en retrait? - N'empêche, qu'à la retraite de Russie, c'est les mecs qu'étaient à la traîne qui se sont fait repasser. V.Venantini/L.Ventura | |
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